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Situación y análisis del feminicidio en la Región Centroamericana

Le 02/12/2012

Situación y análisis del femicidio en la Región Centroamericana Agosto, 2006 IIDH

Instituto Interamericano de Derechos Humanos  Secretaría Técnica


http://www.cawn.org/espanol/publicaciones/documentos/otras/Femicidio%20oficial.pdf

Índice

Agradecimiento…………………………………………………………………………… 3

Siglas……………………………………….………………………..…………………… 4

Presentación……………………………………….……………………………………… 5

Introducción……...……………………………………………………………………….. 7

1) Violencia contra las mujeres y femicidio: marco conceptual.…………........................ 9

1.1. La violencia de género contra las mujeres…………………………………… 9

1.2. Diversas formas de violencia………………………………………………... 14

1.3. La violencia contra las mujeres: un problema de derechos humanos……….. 17

1.4. La violencia contra las mujeres: un problema de seguridad ciudadana……….. 18

1.5. El concepto de femicidio…………….………………………………………. 19

1.6. Tipología del femicidio……………...……………………………………….. 23

2) Características de la violencia de género contra las mujeres en los países de la

Región Centroamericana…………………………………………………………. 25

3) Estudio y análisis del femicidio en los países centroamericanos…………………. 36

4) Situación del femicidio en la Región Centroamericana………………………….. 55

4.1. Magnitud del problema………………………………………………………. 55

4.2. El perfil de las víctimas………………………………………………………. 63

4.3. Tipo de relación entre la víctima y el perpetrador…………………………… 64

5) Marco normativo que salvaguarda el derecho de las mujeres a la vida y a vivir

libres de violencia…………………………………..……………………….…..… 68

5.1. Convenios internacionales…………………………………………………… 68

5.2. Legislación nacional……………………..…………………………………… 71

5.3. Jurisprudencia del Sistema Universal de Derechos Humanos………………. 83

5.4. Jurisprudencia del Sistema Interamericano de Derechos Humanos..………… 90

5.5. Jurisprudencia nacional……………………………………………………… 95

6) Políticas públicas adoptadas e implementadas por los Estados con miras

a la erradicación del femicidio.……………………………………………………. 98

6.1. Políticas existentes……………………………………………………………. 98

6.2. Programas contra la violencia hacia las mujeres………………………………. 110

6.3. Programas o acciones específicas contra el feticidio…………………………… 126

7) Acciones emprendidas por las Instituciones Ombudsman para prevenir y

combatir el femicidio……………………………………………………………… 130

7.1 Competencia de las instituciones Ombudsman en la materia………………… 130

7.2 Acciones emprendidas sobre femicidio………………………………………. 131

8) Conclusiones generales y dificultades identificadas para el abordaje del femicidio

en los países centroamericanos ..………………………………………………… 135

9) Recomendaciones…….………………………………………………………….. 147

2

Bibliografía consultada …………………………………………………………………… 152

Anexo N° 1: Estudios y artículos sobre femicidio en los países centroamericanos…………… 159

http://www.cawn.org/espanol/publicaciones/documentos/otras/Femicidio%20oficial.pdf

22 novembre 2012 en France Le manifeste des 313 Je déclare avoir été violée

Le 26/11/2012

Le "Manifeste des 313" : "Je déclare avoir été violée"

En France, une femme est violée toutes les 8 minutes. Le viol est un fait banal, massif. Il détruit physiquement et moralement. Et pourtant, il relève du tabou. On peut raconter dans un dîner entre amis ou à ses collègues de bureau que l’on a été victime d’un attentat, que l’on a perdu un proche ou subi un cambriolage. Avec le viol, silence radio. Cet acte touche à la sexualité et la suspicion n’est jamais loin. Le viol est un crime dans lequel la victime se sent coupable, honteuse.

Trop de stéréotypes entourent le viol. Dans l’imaginaire collectif, il se déroule dans une ruelle sombre et est perpétré par un inconnu physiquement menaçant. Dans la vraie vie, les violeurs sont le plus souvent connus de la victime et leur arme ressemble plus au chantage affectif qu’à un couteau, à la menace professionnelle ou financière qu’à un pistolet. Là se niche toute la complexité de ce crime qui s’inscrit dans un rapport de domination historique, celui du masculin sur le féminin.

Ne pas pouvoir dire ce que l’on a vécu rajoute à la violence subie et contribue à l’impunité des violeurs. Seul un viol sur huit environ fait l’objet d’une plainte. Il est temps de libérer la parole, condition sine qua non pour en finir avec le viol. Nous voulons briser le silence sur ces millions de femmes violées. Je déclare que je suis l’une d’elles. Je déclare avoir été violée. Le dire publiquement, ensemble, est un acte politique. Ce manifeste est une interpellation des pouvoirs publics et de la société tout entière pour favoriser l’émergence de notre parole, ici et maintenant".

"Je déclare avoir été violée" : "l'Obs" lance le manifeste des 313

"Je déclare avoir été violée" : "l'Obs" lance le manifeste des 313

Chaque année en France, plus de 75.000 femmes, et presque autant d'enfants sont victimes de viol. Soit un viol toutes les huit minutes. Des drames banals, noyés dans la honte, que subit ou subira pourtant 1 femme sur 10 au cours de sa vie. Il faut se rendre à l'évidence : loin du fait divers, c'est un fait de société sourd, qui frappe tous les milieux sociaux. Et recèle son lot de vérités inavouables.

Sait-on que 80% des viols restent aujourd'hui commis par un proche, conjoint, amant, père, grand-père, ami de la famille ou patron ? Nous voilà loin du cliché où le violeur est un psychopathe armé et violent, qui traîne sa victime en minijupe dans une rue sombre.

Comme il le fit en avril 1971 en faveur de l'avortement, "le Nouvel Observateur" publie aujourd'hui un manifeste pour que notre société ouvre enfin les yeux sur la vérité du viol en France, un scandale massif qui appelle une mobilisation urgente. Pour la première fois, des centaines de femmes déclarent ensemble avoir été violées. Elles signent aujourd'hui le "manifeste des 313".

De la joueuse de tennis Isabelle Demongeot à l'ancienne épouse de l'ex-Premier ministre Marie-Laure de Villepin en passant par l'auteur et scénariste Frédérique Hébrard, elles ont entre 18 et 87 ans. Dans les semaines qui viennent, elles seront des centaines, mues par le courage, à s'engager pour que la honte change de camp. A l'origine du texte et première signataire, Clémentine Autain s'affiche (voir son interview en vidéo). "Après l'affaire DSK, des femmes ont osé parler, le voile s'est un peu levé, je ne voulais pas qu'il retombe, explique-t-elle. Il faut en finir avec l'hypocrisie des images d'Epinal, le viol est un fait social qu'il faut maintenant prendre à bras-le-corps." Et il y a du travail.

Elsa Vigoureux - Le Nouvel Observateur

En 1971, 343 femmes ont reconnu dans "le Nouvel Observateur" avoir avorté. Elles sont aujourd'hui 313 à déclarer avoir été violées. Un acte politique, lui aussi.

"Le Nouvel Observateur" du 22 novembre 2012 (Le Nouvel Observateur)

Tout est dit pour les prochains mois… Indélébile mais éditable, le Manifeste – à la différence de celui des 343 – peut indéfiniment être rejoint. Pour signer le Manifeste, il vous suffit d’écrire à violmanifeste@nouvelobs.com.

 

 
Elles ont déjà signé le Manifeste :  

Clémentine Autain, 39 ans, femme politique ; Frédérique Hébrard, 85 ans, écrivain et scénariste ; Isabelle Demongeot, 46 ans, ex-championne de tennis ; Caroline de Haas, 32 ans, conseillère au ministère des Droits des femmes, Marie-Laure de Villepin, 50 ans ; Marie Pauline Ferrari, 51 ans, vice-consule à l’ambassade des Seychelles ; Lea Belek, 43 ans, directrice de clientèle dans la publicité ; Caroline Sinz, 49 ans, journaliste...

 


17 novembre 2012 En Colombie, des milliers de femmes ont été déplacées et violées à cause du conflit armé

Le 18/11/2012

17 novembre 2012

En Colombie, des milliers de femmes ont été déplacées et violées à cause du conflit armé

Le conflit armé a provoqué d’immenses déplacements de population en Colombie. Selon des estimations officielles, on compte 4,6 millions de personnes déplacées, certaines d’entre elles réfugiées en Equateur.

Il s’agit d’habitants des régions rurales touchées par les violences des guérillas d’extrême gauche, des milices paramilitaires d’extrême droite et par les exactions des forces de sécurité (armée ou police). 70 % des victimes des déplacements forcés sont des femmes ou des enfants.

« Pour de nombreuses femmes et filles déplacées, cette épreuve est aggravée par le traumatisme résultant de viols ou de violences conjugales », note Amanda Klasing, chercheuse à la division des droits des femmes de l’organisation non gouvernementale Human Rights Watch (HRW). « Malgré l'adoption ces dernières années de bonnes lois et de bonnes politiques, ces victimes ont toujours d'énormes difficultés à obtenir les soins médicaux auxquels elles ont droit. Et il est rare que leurs agresseurs soient traduits en justice. »

HRW vient de publier un rapport d’une centaine de pages sur les personnes déplacées victimes de violences sexistes en Colombie.

Un rappel utile, alors que le gouvernement colombien et les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC, extrême gauche) entament des négociations de paix à La Havane, lundi 19 novembre.

Aucune paix durable ne saurait être envisagée sans justice et réparation pour les victimes. Et la première étape consiste à répondre à l’exigence de vérité. Les acteurs du conflit doivent répondre à la clameur des victimes.

Selon HRW, les violences faites aux femmes déplacées sont bien plus nombreuses que celles relevées dans l’ensemble de la population colombienne. Selon une étude officielle, 48 % des femmes déplacées ont subi des agressions au sein de leur couple, tandis que 9 % ont été violées par une personne autre que leur partenaire.

Du fait de leur déracinement et de leur pauvreté, ces femmes sont particulièrement vulnérables. « Quand les violeurs sont impunis pour leurs crimes, cela a pour effet non seulement de discréditer les lois colombiennes sur les violences sexuelles, mais aussi d'encourager les agresseurs à commettre de nouveaux viols », souligne Amanda Klasing.

Le Monde  Blog de Paulo A. Paranagua journaliste au Monde

République Dominicaine : "Une crise de masculinité machiste" à l’origine de108 assassinats de femmes depuis janvier 2012

Le 18/11/2012

ALAI, América Latina en Movimiento

2012-07-18

RDominicana

République Dominicaine : "Une crise de masculinité machiste" à l’origine de108 assassinats de femmes depuis janvier 2012

 

 

 

Cent huit (108) femmes ont déjà été victimes d’une vague d’assassinats en République Dominicaine depuis le début de l’année 2012, selon ce qu’indique la militante féministe, Sergia Galvan citée par le journal français, le Monde.

 

Le féminicide est devenu la principale cause de mort des femmes en âge de procréer en République Dominicaine, apprend-on.

 

Assassinée de quatorze coups de couteau par son mari, à la suite d’une dispute, le jeudi 12 juillet, à Boca Chica, à 30 kilomètres à l’est de Santo Domingo, Ymilda Urbaez, âgée de 32 ans, surnommée "La Rubia" (la blonde), est la dernière victime de la vague de meurtres de femmes qui ensanglante la République dominicaine, rapporte le journal français.

 

L’augmentation des féminicides est liée à "la crise de la masculinité machiste", souligne la sociologue Rosario Espinal.

 

" Les femmes ont acquis plus d’autonomie grâce à l’accès à l’éducation et à l’emploi, et l’homme machiste, incapable de gérer son insécurité, devient un sujet à haut risque pour elles ", ajoute Espinal.

 

"Une grande partie des féminicides est commise par des hommes qui n’ont pas accepté une rupture", observe le psychiatre César Mella.

 

" Les agents de la force publique figurent aussi parmi les agresseurs de femmes", signale Mella.

 

Les violences contre les femmes n’ont cessé d’augmenter ces dernières années Mais, il n’existe que deux refuges pour les femmes maltraitées dans tout le pays, constate t-il.

 

Aucun programme n’est mis en place pour les quelques 800 enfants qui se retrouvent orphelins de mère, chaque année, à cause des féminicides (assassinats de femmes), ajoute le Monde.

 

Face à cette cascade d’assassinats, plusieurs dizaines d’organisations de femmes, syndicales et de la société civile se sont associées à une journée de " deuil national "pour honorer la mémoire des victimes et exiger des mesures concrètes.

 

Constatant l’échec des programmes de lutte contre les violences, dont les femmes sont victimes, le procureur général de la République, Radhamés Jiménez, appelle l’État à une action effective qui exige, selon lui, de l’argent, une amélioration de la législation et des programmes de prévention et d’éducation.

 

Radhamés Jiménez critique les pouvoir législatif, exécutif et judiciaire, qui n’ont, jusqu’à présent, fait montre d’aucune volonté politique à agir.

 

Affirmant que "le droit à la vie est le premier droit humain, que l’État doit le défendre y compris dans la sphère privée", la députée Minerva (Minou) Tavarez Mirabal promet, de son côté, de se battre pour que "la lutte contre les féminicides se traduise dans le budget national" en République Dominicaine.



http://alainet.org/active/56591

Panamá entre los líderes mundiales de femicidio

Le 09/11/2012

Panamá entre los líderes mundiales de femicidio

 

En los últimos años se incrementaron las cifras de homicidios de mujeres y la falta de efectividad de las entidades de investigación.

 

Las estadísticas cada vez son más contundentes, las denuncias por violencia se han incrementado. Los números que presentó ayer el Fondo de Población de las Naciones Unidas nos pone en una posición nada envidiable. Sin duda, una sociedad donde prevalece el machismo.  Alberto de León de Gracia

 

“PANAMÁ. Los números no mienten, nos llenan de vergüenza, pero no nos concitan a mejorar esta tendencia destructiva. ‘El hombre que golpea a una mujer, pierde esa condición’, decían nuestras abuelas con marcada frecuencia. Si cada uno de nosotros hubiera seguido al pie de la letra esta sentencia, hoy este no sería un tema de análisis, lamentaciones y tragedia social. Según los especialistas, la violencia de género contra las mujeres está ligada a la falta de igualdad entre los sexos, lo que se traduce en una relación de poder, donde el hombre domina o controla y la mujer está subordinada o depende de él. Ese tipo de violencia es producto de ese poder y control masculino, pero a la vez es un mecanismo para mantener poder y control sobre las mujeres. Ayer, representantes del Fondo de Población de Naciones Unidas en Panamá revelaron a la prensa los detalles de esta problemática mundial. La situación de Panamá es lo que más destaca en el dosier entregado con información relevante sobre la violencia de género. Nuestro país, según el informe especializado, ocupa el décimo puesto —mundialmente hablando— en número de femicidios. Son 24.58 por cada millón de mujeres. A nivel de Latinoamérica, le siguen en este ranking negativo: El Salvador (129), Guatemala (92), Colombia (49), Honduras (44), República Dominicana (38), Bolivia (34) y Paraguay en el escaño 27. Estas cifras se desprenden del Tercer informe internacional de violencia contra la mujer en las relaciones de pareja del Centro Reina Sofía de España. Por otro lado, datos de la Defensoría del Pueblo —recogidos a través del Observatorio Panameño contra la Violencia de Género (OPVG) — revelan que durante el primer semestre del presente 2010 se produjeron 40 muertes de mujeres. De ellas 28 (el 70%) fueron femicidios (asesinato de mujeres por razones asociadas con su género). Lo más alarmante de estos datos es que, en los últimos años, el crecimiento de las cifras de homicidios de mujeres, la falta de efectividad de las entidades de investigación y persecución de estos graves delitos y las evidentes menores penas que reciben los femicidas han hecho que las organizaciones de mujeres hayan elevado sus protestas, y en forma más visible desde los años 2003 y 2004. En esta problemática, el país debe elevar el bagaje educativo y de salud desde el punto de vista no sexista, penalizar el femicidio como delito autónomo y crear instancias judiciales específicas con sus propios jueces y fiscales especialistas en esta materia; además de promover las políticas públicas de igualdad en todas las áreas del gobierno, independientemente del rol del Instituto Nacional de la Mujer; y consolidar la protección de las féminas, ya que hoy el país solo cuenta con un albergue nacional para víctimas de la violencia”.

 noticia sobre el feminicidio que firma el periodista Alberto de León de Gracia, en la edición del 18 de octubre de 2010 de la Estrella de Panamá

Mujeres de Guatemala extracto de el periodico El Pais Espana

Le 27/10/2012

España amplía el caso del genocidio maya a los crímenes de género

El magistrado Santiago Pedraz ha ampliado su investigación

El juez de la Audiencia Nacional considera que las violaciones querían acabar con esa etnia

. Madrid 26 JUL 2011 - 19:58 CET

Los delitos de genocidio, terrorismo, lesa humanidad, torturas, asesinatos y detenciones ilegales no fueron los únicos que presuntamente se produjeron durante el genocidio maya perpetrado por el Ejército guatemalteco y las ultraderechistas Patrullas de Autodefensa Civil (PAC) entre 1979 y 1986. El juez de la Audiencia Nacional Santiago Pedraz ha ampliado su investigación a los crímenes de género. El magistrado considera que las 1.465 violaciones, en su inmensa mayoría de mujeres mayas, perpetradas en ese periodo, además de otras atrocidades sexuales, tenían como fin acabar con esa etnia.

Pedraz constata 1.465 violaciones de las que el 97% serían imputables a estos últimos. En el 88,7% de los casos, las víctimas eran mayas. El 62% tenía entre 18 y 60 años y otro 35% eran menores. “Muchas de ellas fueron sometidas a esclavitud sexual”, relata el juez. “Las mantenían con vida para ejercer agresiones sexuales”. Otras veces “eran trasladadas a cuarteles y destacamentos militares”. La resolución señala la “extrema crueldad” con la que se perpetraron los crímenes. Mutilaciones, hemorragias vaginales, empalamientos, aperturas de vientres... También se produjeron contra embarazadas y niñas, incluso en presencia de familiares y miembros de la comunidad. En muchos casos provocaron la muerte de las víctimas o se las ejecutó después.

“Toda esa violencia de género fue planificada desde el entrenamiento militar, en el cual las agresiones se constituían en práctica habitual, siendo incluso ordenadas por los mandos de forma previa al ingreso [en el Ejército]”, afirma el magistrado. Su fin era “asegurar el fin de la transmisión de la cultura maya y la desaparición del grupo” provocando desplazamientos de mujeres, rupturas de matrimonios y lazos sociales y evitación de matrimonios y nacimientos dentro del grupo. Unos 500.000 mayas, en su mayoría mujeres y niños, tuvieron que desplazarse a otras comunidades y después a las montañas. Muchos murieron de hambre y frío.

 

Angye Gaona, poeta perseguida

Le 25/10/2012

La revista  La voix des Autres en su numero 5 del mes de marzo 2012 nos trae un expediente sobre el caso Angye Gaona

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poeta perseguida injustamente  ya sabemos que desde los albores de la actividad poetica humana muchos poetas que se han atrevido  a usar su arte para denunciar situaciones  se les ha tratado de silenciar.  El caso de Angye es  vivo ejemplo de esto.

Que  Calderon de la Barca nos  acompañe   

Y para mi, el que es valiente

es todo lo demás ,puesto
que el animo es don del alma

y la agilidad del cuerpo

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Feminicide en Argentine revue Espaces Latinos mai juin 2012

Le 28/08/2012

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