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Les femmes au Brésil

Le 19/04/2014

2014-14 mars –BRÉSIL – 

Malgré certaines des lois les plus sévères du monde, le Brésil se classe toujours au septième rang mondial pour les meurtres de femmes par leurs partenaires ou ex-partenaires. Près de huit ans après l’entrée en vigueur de l’exemplaire Loi Maria da Penha , une femme est tuée toutes les 90 minutes au Brésil, lors d’un épisode de violence domestique et conjugale.

Dia internacional de la mujer ONU 8 de marzo

Le 08/03/2014

http://www.un.org/fr/events/womensday/

«Igualdad para las mujeres: progreso para tod@s»

«Los países en los que hay más igualdad de género experimentan un mayor crecimiento económico. Las empresas que cuentan con más líderes mujeres logran mejores rendimientos. Los acuerdos de paz que incluyen a las mujeres son más duraderos. Los parlamentos en los que hay más mujeres aprueban más leyes sobre cuestiones sociales clave como la salud, la educación, la lucha contra la discriminación y la manutención de los niños. Las pruebas no dejan lugar a dudas: la igualdad de la mujer supone progresos para todos.»

Secretario General, Ban Ki-moon

El Día Internacional de la Mujer es un buen momento para reflexionar acerca de los avances logrados, pedir más cambios y celebrar la valentía y la determinación de mujeres de a pie que ha jugado un papel clave en la historia de sus países y comunidades.

El lema de este año, «Igualdad para las mujeres: progreso para tod@s», subraya cómo la igualdad de género, el empoderamiento de las mujeres, el respeto total de los derechos humanos de las mujeres y la erradicación de la pobreza son esenciales para el desarrollo económico y social. También destaca el papel clave de las mujeres como agentes del desarrollo.

Con la fecha límite de 2015 ya próxima para la consecución de los Objetivos de Desarrollo del Milenio (ODM), el Día Internacional de la Mujer es también una oportunidad para pasar revista a los retos pendientes y los logros conseguidos en la ejecución de los ODM para las mujeres y las niñas, al igual que hará Comisión de la Condición Jurídica y Social de la Mujer en su periodo de sesiones del 10 al 21 de marzo de 2014.

ComissionIndia

Julio Emilio PACHECO 24 de enero 2014

Le 11/02/2014

Le Monde 27 janvier 2014  

José Emilio Pacheco, immense poète, est mort au Mexique

 Le poète et écrivain mexicain José Emilio Pacheco est mort dimanche 26 janvier 2014, à Mexico, à l’âge de 74 ans.

Figure éminente de la scène culturelle d’après-guerre, il avait collectionné les récompenses, couronnées en 2009 par le prix Cervantes, le plus prestigieux de la littérature de langue espagnole.

José Emilio Pacheco Berny est né à Mexico, le 30 juin 1939. Il fait ses études à l’Université nationale autonome du Mexique (UNAM), dont il deviendra professeur, responsable de revue et directeur de collection.

Il débute à la revue Medio Siglo, éditée par l’UNAM, et appartient justement à la « génération du demi-siècle » ou génération des années 1950.

Pacheco

Mexican writer Jose Emilio Pacheco poses for the photographers after the Cervantes Prize ceremony on April 23, 2010, in Madrid. Carlos Alvarez/Getty Images

 

 

Cette dernière n’est plus sous l’emprise de la culture du nationalisme révolutionnaire, qui a fait office d’idéologie officielle du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI), longtemps hégémonique. José Emilio Pacheco intitule ironiquement « Haute Trahison » le poème où il ose écrire : « Je n’aime pas ma patrie », tout en se disant prêt à mourir pour certains lieux ou personnes, paysages ou figures historiques.

La poésie est son domaine privilégié, la condensation de son sentiment du monde, l’aveu de son sujet de prédilection, voire son « thème unique » : le temps, l’obsession du passé révolu. Pourtant, ce n’est pas un nostalgique ni un passéiste. D’ailleurs, écrit-il, il ne faut pas « prendre trop au sérieux ce que te dit la mémoire », car on se raconte soi-même des histoires pour repousser la fin et donner du sens à l’existence. Il a beau dire que son refrain est nunca mas (« plus jamais »), il « aime ce changement perpétuel » sans quoi la vie aurait la consistance de la pierre. Il porte d’ailleurs un regard aiguisé sur son époque, sans pourtant tomber dans le prêchi-prêcha.

Moderne sans affectation

Ne me demande pas comment passe le temps, intitule-t-il un recueil de poèmes (1970). C’est une expression familière, Tôt ou tard, qu’il choisit pour titre de sa poésie complète (2009). En dépit de cette problématique éminemment philosophique, José Emilio Pacheco utilise un langage dépouillé, simple jusqu’à la limite du « colloquialisme » (langage familier), dépourvu de solennité et d’emphase, mais néanmoins imagé et rigoureux, déployant la riche palette de l’idiome castillan.

Le poète maîtrise la densité, prise la concision, ménage les surprises. L’humour tempère sa mélancolie, voire son pessimisme, sa forme de résistance aux illusions. Il est moderne sans affectation, sans être obligé de mettre à nu les dessous de son expérience littéraire. Il traduit T. S. Eliot et bien d’autres, contribue au rayonnement de Jorge Luis Borges, fait connaître ses contemporains et ses ancêtres dans les salles d’université (au Mexique et aux Etats-Unis), dans les publications et les anthologies.

Comme tous les grands créateurs, José Emilio Pacheco n’est pas unique mais multiple. Le poète cultive la narration, d’abord des contes, à l’instar de Borges, ensuite un ou deux romans, contrairement à l’Argentin.

Si les poèmes avaient délaissé le nationalisme au profit de l’universel, ses récits se déjouent, eux aussi, des frontières. Ainsi, les enfants des Batailles dans le désert (Las batallas en el desierto, 1981, traduction française aux éditions de La Différence, 1995) miment le conflit du Proche-Orient dans une cour de récréation. De même, les adultes de Tu mourras ailleurs (Moriras lejos, 1967, traduction française chez le même éditeur en 1991) portent en eux les horreurs de la Shoah. Voilà qui tranchait avec la thématique du roman mexicain, obsédé jusqu’alors par la révolution de 1910 et l’histoire nationale.

Homme de vaste culture, intelligence brillante reconnue unanimement par l’intelligentsia mexicaine malgré sa propension au cannibalisme, José Emilio Pacheco était un des nombreux cinéphiles formés à l’Institut français d’Amérique latine, à Mexico. Il a été le scénariste attitré du réalisateur Arturo Ripstein, depuis son premier chef-d’œuvre, le Château de la pureté (1973) jusqu’à Ce lieu sans limites (1978), en passant par le méconnu Le Saint Office (1974).

En France, les éditions de La Différence ont fait un magnifique travail pour faire traduire et découvrir sa poésie (Le passé est un acquarium, 1991) et sa prose (La Lune décapitée, 1991, outre les titres cités plus haut).

Oeuvre

    Oeuvre

 

  

Vengeance à Juarez Mexique

Le 07/09/2013

Article publié le : mercredi 04 septembre 2013 à 05:35 -

 

                        Mexique: vengeance à Ciudad Juárez

ciudad-juarez-2013.jpg

Les femmes mortes de Ciudad Juarez sont enterrées souvent anonymement dans les cimetières des petits villages du désert.

RFI / Patrice Gouy

                       

                        Tout au nord du Mexique, sur la frontière nord-américaine, dans la dangereuse ville de Ciudad Juárez, en face d’El Paso, deux conducteurs d’autobus ont été assassinés. Des crimes qui inquiètent les autorités, car il pourrait s’agir d’une vengeance qui pourrait faire d’autres victimes.

Avec notre correspondant à Mexico, Patrice Gouy

Deux conducteurs d’autobus transportant des ouvrières ont été froidement assassinés d’une balle dans la tête à 24 heures d’intervalle par une petite femme d’environ 50 ans toute vêtue de noir. La tueuse, qui signe « Diane chasseresse », a laissé un message sur internet : « Les femmes sont victimes chaque nuit de violences sexuelles de la part de ces chauffeurs, personne ne nous défend, je suis l’instrument de cette vengeance et il y aura d’autres victimes ».

À Ciudad Juárez, des milliers de femmes travaillent en 3x8 dans des usines de montage souvent situées loin de leur domicile. Les agressions sexuelles dans les transports sont nombreuses et toujours impunies.

Ciudad Juárez est tristement célèbre pour les centaines de femmes assassinées, dont les corps sont retrouvés dans le désert tout proche, avec des traces d’extrêmes violences sexuelles. La tueuse pourrait être une ouvrière agressée sur cette ligne ou une mère désespérée dont la fille a été violée.

L’impunité, la violence et l’inefficacité de la justice sont telles au Mexique que les citoyens succombent de plus en plus souvent à la tentation de faire justice eux-mêmes.

encuentro internacional de poetas en Panama en 2013

Le 07/09/2013

                        ENCUENTRO INTERNACIONAL DE MUJERES POETAS

                        EN PANAMA

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Gloria Young 

 El X ENCUENTRO INTERNACIONAL DE MUJERES POETAS se celebró en Panamá del 27  al 31 de marzo 2013. Fue una gran fiesta donde participamos 280 mujeres venidas de todos los países de este gran continente llamado América, pero también de países como Francia y España.

Este Encuentro tuvo sus inicios en la hermosa ciudad de Arequipa (Perú) bajo la égida de Elizabeth Altamirano y desde entonces no ha hecho sino crecer y fortalecerse en una red de mujeres poetas, de críticas literarias, traductoras y editoras que ha permitido que nos conozcamos y establezcamos comunicación; una red que nos visibiliza y muestra el trabajo serio y disciplinado que realizamos en nuestros países, tanto en talleres de creación poética, como el trabajo solitario de la concepción de un libro o del análisis literario.

El X ENCUENTRO INTERNACIONAL DE MUJERES POETAS  estuvo a cargo de la poeta panameña Gloria Young con la colaboración de la escritora Consuelo Thomas. Un trabajo titánico que permitió que todas las participantes pudiésemos no sólo asistir a las conferencias, mesas redondas, talleres o presentaciones de libros, sino interactuar en los colegios de la Ciudad de Panamá o de las provincias, algunas tan alejadas como la de Chiriquí. La presencia de las Universidades y del Magisterio fue clave en el desarrollo del evento, por lo que pudimos sentir el aprecio de la Academia por nuestro trabajo. Por otra parte, el Encuentro estuvo dedicado a una gran poeta panameña, Diana Morán, a quien no conocía y cuyo descubrimiento fue una especie de revelación, al menos para mí.

Es imposible hablar de todas y cada una de las escritoras o poetas, pero deseo nombrar a algunas de ellas por sus altas calidades literarias: la poeta y crítica literaria Luisa Vicioso (República Dominicana), la poeta Nela Río (Argentina-Canadá), Mayrim Cruz Bernal (Puerto Rico) , Gloria Dávila Espinoza (Perú), Maggy De Coster (periodista, traductora, crítica literaria y poeta – Francia) o la traductora Elizabeth Gambler Miller (USA).

El próximo Encuentro tendrá lugar en Brasilia en el 2014, para entonces muchas otras creadoras se unirán a este maravillo encuentro que nos lleva por senderos a veces espinosos y a veces de grata aventura.

 

ONU Clama por la erradicacion de la violencia contra las mujeres:Michelle Bachelet mars 2013

Le 25/05/2013

Michelle Bachelet, directora ejecutiva de ONU Mujeres, calificó de “histórica” la clama por erradicacion de violencia contra las mujeres

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http://visioninformativa.wordpress.com/2013/03/16/onu-clama-por-erradicacion-de-violencia-contra-las-mujeres/

http://www.unwomen.org/fr/2013/03/parliamentary-strategies-for-tackling-violence-against-women-and-girls-speech-by-michelle-bachelet/

http://www.liberation.fr/monde/2013/03/16/a-l-onu-une-declaration-historique-sur-les-violences-contre-les-femmes_889054

Déclaration de Michelle Bachelet: Stratégies parlementaires visant à lutter contre la violence à l’égard des femmes et des filles


Posted on mars 5 2013 | Elimination de la violence contre les femmes | Directrice exécutive Michelle Bachelet | Discours et déclarations

Derechos de la Mujer 8 de marzo

Le 09/03/2013


*Trigger Warning* A film by @EveEnsler and Tony Stroebel.
Please spread far and wide w/this tweet: Rise up on 2-14 to end Violence against Women in a global event! @vday http://onebillionrising.org/